ESTIMER LA VALEUR D'UN BIEN A VENDRE
Pour estimer la valeur d'un bien immobilier à vendre, plusieurs méthodes peuvent être utilisées.
La première méthode est l'estimation comparative de marché. Elle consiste à rechercher des biens immobiliers similaires vendus récemment dans le même quartier ou la même zone géographique, et à comparer les prix de vente pour estimer la valeur du bien.
La deuxième méthode est l'évaluation par capitalisation des revenus locatifs. Elle est utilisée pour les biens immobiliers destinés à la location. Elle consiste à estimer les revenus locatifs annuels nets, puis à appliquer un taux de capitalisation pour déterminer la valeur du bien.
La troisième méthode est l'évaluation par la méthode du coût de remplacement. Elle est utilisée pour les biens immobiliers neufs ou récents. Elle consiste à estimer le coût de la construction du bien immobilier, en y ajoutant le coût du terrain, puis à appliquer une dépréciation en fonction de l'âge et de l'état du bien.
Il est important de noter que ces méthodes peuvent donner des résultats différents en fonction de plusieurs facteurs, tels que l'emplacement du bien, l'état du marché immobilier, la taille et l'état du bien, ainsi que les spécificités de la transaction (vente ou location, par exemple). Il est donc recommandé de faire appel à un professionnel de l'immobilier, comme un agent immobilier ou un notaire, pour obtenir une estimation précise de la valeur du bien.
L'outil patrim permet d'avoir accès à votre espace des impôts pour se faire une idée du prix.
Il vous est possible également de partir des dernières transactions sur votre secteur en exploitant les données publiques des valeurs foncières (ETALAB) pour se faire une idée.
A l'OEFE IMMO, les agents immobiliers analysent le marché, connaissent leur secteur et appliquent des coefficients de pondération propres à leur agence, avec une valorisation de rentabilité locative entre 6% et 8% (montant loyer*12 mois/prix de vente) recherchée par leurs investisseurs dans le cadre d'un investissement sur 20 ans, en incluant les travaux éventuels qui pourraient fortement influencer la rentabilité à moyen terme.
SOURCE: OEFE IMMO
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